La Corse à travers l’ODARC a été retenue par l’agence MCA-Morocco, agence gouvernementale Marocaine, pour accompagner une réflexion profonde relative à un processus de réformes foncières.
Après avoir choisi plusieurs destinations dans le monde pour explorer des solutions relatives aux questions soulevées par la gestion du foncier au Maroc, et plus précisément les problèmes liés à l’indivision, MCA-Morocco a sélectionné la Corse parmi cinq pays avec la Turquie, l’Espagne, le Mexique et le Canada
MCA-Morocco est entrée en contact courant le mois d’octobre avec la Division Forêt et Aménagement du Territoire de l’ODARC, Cellule gestion collective et aménagement rural afin de piloter leur visite.
Diverses rencontres et ateliers sur le terrain ont été organisés par l’ODARC. Une première entrevue a eu lieu avec la SAFER, puis la visite d’une Association Foncière Pastorale à Aïti, et enfin une rencontre avec l’Agence Foncière, l’AUE et le GIRTEC. Il s’agissait d’analyser les solutions qui sont développées par la Corse pour contourner les difficultés liées cette situation d’indivision.
« Alors qu’en Corse il existe une indivision successorale, au Maroc l’indivision est liée à l’usage » note Philippe Valentini qui pilote la délégation. » Les indivisaires sont identifiés et sont parfois très nombreux sur une même parcelle »
La démarche des AFP qui gère des territoires malgré l’indivision et permet ainsi de retrouver la possibilité de les exploiter, les a particulièrement intéressés. Et tout particulièrement le contrôle de légalité exercé par la préfecture. « Ils vont s’inspirer de la forme juridique des AFP pour les adapter à leur territoire ». Mais c’est aussi tout l’écosystème, les appuis techniques mis en place, avec par exemple les Chambres d’Agriculture, qui a retenu leur attention.
L’ODARC a l’intention de poursuivre les échanges sur d’autres thèmes notamment sur la façon dont le Maroc gère les évolutions liées au changement climatique, car toujours selon Philippe Valentini « Leur présent sera très proche de notre futur ».
Après avoir choisi plusieurs destinations dans le monde pour explorer des solutions relatives aux questions soulevées par la gestion du foncier au Maroc, et plus précisément les problèmes liés à l’indivision, MCA-Morocco a sélectionné la Corse parmi cinq pays avec la Turquie, l’Espagne, le Mexique et le Canada
MCA-Morocco est entrée en contact courant le mois d’octobre avec la Division Forêt et Aménagement du Territoire de l’ODARC, Cellule gestion collective et aménagement rural afin de piloter leur visite.
Diverses rencontres et ateliers sur le terrain ont été organisés par l’ODARC. Une première entrevue a eu lieu avec la SAFER, puis la visite d’une Association Foncière Pastorale à Aïti, et enfin une rencontre avec l’Agence Foncière, l’AUE et le GIRTEC. Il s’agissait d’analyser les solutions qui sont développées par la Corse pour contourner les difficultés liées cette situation d’indivision.
« Alors qu’en Corse il existe une indivision successorale, au Maroc l’indivision est liée à l’usage » note Philippe Valentini qui pilote la délégation. » Les indivisaires sont identifiés et sont parfois très nombreux sur une même parcelle »
La démarche des AFP qui gère des territoires malgré l’indivision et permet ainsi de retrouver la possibilité de les exploiter, les a particulièrement intéressés. Et tout particulièrement le contrôle de légalité exercé par la préfecture. « Ils vont s’inspirer de la forme juridique des AFP pour les adapter à leur territoire ». Mais c’est aussi tout l’écosystème, les appuis techniques mis en place, avec par exemple les Chambres d’Agriculture, qui a retenu leur attention.
L’ODARC a l’intention de poursuivre les échanges sur d’autres thèmes notamment sur la façon dont le Maroc gère les évolutions liées au changement climatique, car toujours selon Philippe Valentini « Leur présent sera très proche de notre futur ».
MCA-Morocco
Créée en septembre 2016, l’Agence MCA-Morocco est chargée de la mise en œuvre du programme objet du Compact II, conclu le 30 novembre 2015 entre le gouvernement du Royaume du Maroc et le gouvernement des Etats-Unis d’Amérique. A ce titre, elle supplée le gouvernement du Maroc dans l’exercice et l’exécution de ses droits et obligations relatifs à la supervision, à la gestion et à la mise en œuvre du Compact II (Source : Agence MCA-Morocco).
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