L’Ordre des Architectes de Corse, représenté par Sylvia Ghipponi, Présidente de l’Ordre, Amandine Albertini et Elodie Mussier, Vice-Présidentes, avait souhaité rencontrer le syndicat des subériculteurs de Corse « Sindicatu di i Suaraghji di Corsica ». Ceci afin de connaitre quelle était la gamme des produits liège issu des productions locales, et ainsi envisager quelle serait leur place dans le bâtiment en Corse, pour une application à la construction et au bâtiment.
Egalement invités à participer à ce tour de table, l'ADEME représenté par Aline Rinagel-Hoffmann, le CNPF de Corse Florian Galinat et Marie De Peretti della Rocca, Sivacoop.
En préambule, André Serra, Président du Syndicat, accompagné de Joseph Tafani, liègeur dans la région de Portivecchju, mettent l’accent sur l’intérêt de constituer pour la première fois en Corse un syndicat des exploitants de liège et la suberaie de Corse, avec pour vocation de regrouper les exploitants, de défendre et protéger la suberaie, d’être unis dans leurs actions, et enfin de porter un message commun pour toute la filière.
Ce syndicat regroupe 90% des subériculteurs de Corse, avec une production d’environ 3 000 à 3 500 tonnes de lièges par an. Il se structure autour d’une volonté commune qui est de pérenniser l’activité du liège en mettant en place par exemple, des formations de démasclage.
Egalement invités à participer à ce tour de table, l'ADEME représenté par Aline Rinagel-Hoffmann, le CNPF de Corse Florian Galinat et Marie De Peretti della Rocca, Sivacoop.
En préambule, André Serra, Président du Syndicat, accompagné de Joseph Tafani, liègeur dans la région de Portivecchju, mettent l’accent sur l’intérêt de constituer pour la première fois en Corse un syndicat des exploitants de liège et la suberaie de Corse, avec pour vocation de regrouper les exploitants, de défendre et protéger la suberaie, d’être unis dans leurs actions, et enfin de porter un message commun pour toute la filière.
Ce syndicat regroupe 90% des subériculteurs de Corse, avec une production d’environ 3 000 à 3 500 tonnes de lièges par an. Il se structure autour d’une volonté commune qui est de pérenniser l’activité du liège en mettant en place par exemple, des formations de démasclage.
L’ODARC de son côté, cite l’Institut Méditerranéen du Liège qui a lancé une étude sur les qualités d’isolation du liège français par granulométrie. En effet, le liège français n’est pas normé pour l’isolation et les performances phoniques, car il n’existe pas à l’heure actuelle, d’entreprises de production dédiées. Seuls des pays avec des entreprises dans ce domaine, comme le Portugal ou l’Espagne, ont des produits normalisés. Au milieu des années 2000 une étude avait été réalisée pour évaluer la faisabilité de création d’une usine locale de panneaux de liège pour l’isolation dans le bâtiment, mais les résultats étaient peu concluants, au regard notamment des montants à investir. Cependant, deux entreprises existaient jusque dans les années 70 en Corse et qui produisaient ce genre de panneaux (Dixit André Serra), disparues aujour’d’hui.
En parallèle, André et Valère Serra ont débuté une production de granulé de lièges, qu’ils souhaitent valoriser comme isolant. Ils font la remarque suivante : « Dans le bâtiment, soit c’est le liège qui gagne, soit c’est le polystyrène ! »
Cette première rencontre a permis une synergie entre l’Ordre des Architectes de Corse, le Syndicat des subériculteurs de Corse et l’ODARC. Cette table ronde du 29 janvier 202 a mis ainsi en évidence la nécessité de valoriser les produits issus de la subériculture notamment pour la construction et le bâtiment.
En parallèle, André et Valère Serra ont débuté une production de granulé de lièges, qu’ils souhaitent valoriser comme isolant. Ils font la remarque suivante : « Dans le bâtiment, soit c’est le liège qui gagne, soit c’est le polystyrène ! »
Cette première rencontre a permis une synergie entre l’Ordre des Architectes de Corse, le Syndicat des subériculteurs de Corse et l’ODARC. Cette table ronde du 29 janvier 202 a mis ainsi en évidence la nécessité de valoriser les produits issus de la subériculture notamment pour la construction et le bâtiment.
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